dimanche 19 août 2012

Découpe Ananas en inox Vacu Vin

Je m'étais promise de partager avec vous les bons petits tuyaux des achats que j'effectue et en voici un que j'adore, très utile ! surtout en cette période estivale, mon appareil à découper les ananas !!!


Je l'ai trouvé dans une boutique Alice Délice où la vendeuse a pris le temps de me convaincre sans hésitation aucune... j'ai opté pour l'appareil en aluminium... qui m'avait l'air plus solide que celui en plastique... son coût est un peu plus élevé... mais je pense qu'il sera plus solide à long terme... 

Voici son utilisation... très simple (testé, approuvé et charmée...) 


Il suffit de couper la tête de l'ananas et de clipser l'appareil...


On tourne comme avec un tire-bouchon jusqu'à l'autre extrémité de votre ananas... 


Et puis il suffit de tirer pour en faire sortir le fruit...



Libre à vous d'utiliser votre écorce comme garniture de plat . 
Bon appétit !!!

mercredi 15 août 2012

De retour

Et oui, finies les vacances... déjà depuis presque trois semaines pour être exacte, mais j'ai continué à bouder mon ordinateur jusque hier ... préférant flâner, lire préparer mon calendrier de l'avent...

Aujourd'hui donc, de retour avec un trio de cartes vraiment dans des tonalités différentes:
On commence par ma préférée...





















J'adore les tons chocolat et surtout orange !!!
Cette année d'ailleurs je vais être gâtée vues les tendances de l'automne ...

La deuxième carte est plutôt dans des tons roses:


Des papiers de la gamme Tilda tout de douceur conçus afin de donner une petite touche de pureté à cette carte.

Et enfin pour terminer je reviens en force avec mes tons kakis... que j'adooooooooooooore !!!




Voilà... mais j'y pense... vous, laquelle  préférez-vous ?

samedi 30 juin 2012

Couleur kaki

Bon, ce n'est pas parce-que je ne suis pas souvent présente sur mon blog ces derniers temps que je plonge dans l'oisiveté... que du contraire, j'ai pas mal de choses en retard à vous présenter...

Une petite carte pour aujourd'hui, car il y avait longtemps... 
Elle a été réalisée à l'occasion d'un anniversaire ...
Il y une coutume au bureau où entre collègues on fête nos anniversaires à tour de rôle...
et moi, au lieu de mettre dans la cagnotte, et bien je créé de chouettes petites cartes faites maison... qui ont toujours leur petit moment de succès !!!!
Sauf que, quand ce fut le mien... et bien personne n'a osé se mouiller ... l'excuse fut qu'elles avaient peur de ne pas être à la hauteur...


J'ai pris pour habitude de travailler par étape... d'abord la soirée coloriage où je me laisse aller à colorierr, entourée de ma Nina d'amour, diverses étampes dans tout ton confondu...  sauf que la règle à respecter est stricte, chacune ses feutres ! rires.....

et puis après,le moment voulu,  je prends selon l'humeur du jour une étampe et j'adapte mes chutes de papiers en fonction de la couleur choisie... 
Quelques rubans, boutons, strass... et hop, le tour est joué...

J'ai un faible pour ces tons verts... 
Pas mal non ?

vendredi 29 juin 2012

Cecilepicure

Je crois qu'il n'existe pas (ou alors peu) de blogs où l'on ne se laisse pas aller à flâner dans une liste de favoris à la recherche de nouveaux talents répondant à nos centres d'intérêts et qu'à notre tour, on finit par ajouter à notre propre liste de favoris !!!
Raison pour laquelle j'ai décidé aujourd'hui de créer une nouvelle rubrique dans laquelle je souhaite partager avec vous mes coups de coeur !!!

Et pour commencer ce premier article d'une future longue série dans le genre, je mets à l'honneur une de mes deux meilleures amies: ma petite Cécile adorée !!!


Cécile est une de mes deux petites grenouilles porte-bonheur (la deuxième et non des moindre étant ma Cécil... ia, qui n'a pas encore créé son blog, car elle se sous-estime tout le temps alors qu'elle est aussi un de mes modèles de prédilection !)

Pour la petite histoire, parce-que le hasard a parfois des secrets qu'il ne faut pas toujours chercher à percer, elles ont décidé de m'offrir chacune à leur tour une bijou à ajouter à mon bracelet Pandora, afin d'être à mes côté à tout instant... 
Et, c'est sans se concerter, et à une période complètement différente, que j'ai eu le droit de recevoir 2x la même pièce : une petite grenouille, la première provenant de Namur (en Belgique) quant à l'autre d'Hawaï ... à Hawaï... 
J'ai adoré cette coïncidence !!!!!!!
Et elles posent l'une contre l'autre, côte à côte, sur mon bracelet fétiche... entourées des autres pièces chères à mon coeur. 

Mais revenons à nos moutons.... 
Le blog de mon amie s'appelle "Cécilepicure"... un nom qui en dit long !!!
Un mix entre son prénom, les piqures en couture et son petit côté épicurien... 


Elle y aborde ses passions: la couture, la cuisine, ses petites astuces, ses bonnes adresses... j'en passe et des meilleures !!!
C'est qu'elle est très bavarde ma Cécile, alors entre son "Sentier du bricolage", son "Allée de la couture",  son "Chemin de la cuisine", son "Livrez-moi", sa "Ruelle des trucs et astuces", ses "Restos" et ses "(des)Approuvés"... je vous le promets, vous ne serez pas déçu(es) !!!!

Mes articles coup de coeur

Un petit coup de coeur tout particulier puisque j'en ai hérité : oh Yeahhhhhh ! 

Bon, vous l'aurez compris, je vous l'ai dit dans un précédent article, j'ai un petit faible pour les vampires et celui-ci à tout pour plaire... vous ne trouvez pas ? 

J'aime beaucoup l'originalité du même modèle créé pour ses deux mamans... 

Je la trouve trop classe cette petite robe... ah si j'avais encore mes 20 ans... 

Encore un de mes petits porte-bonheur ... il se trouve dans mon sac, et c'est toujours plus gai quand il vient du coeur ! 

C'est à cet atelier que j'ai animé il y a quelques années (noudidjou.... on dirait qu'on vieillit ! ) que j'ai rencontré ma petite Cécile... sans savoir qu'en plus on travaillait dans la même boite ... 
Depuis, on l'a un peu aidé à préférer les yaourts aux softdrinks... mais je vous interdit de dire "loin des yeux, loin du coeur... " car ce n'est pas vrai !!!!

Eh eh... suis trop fière de moi sur ce coup là car même ma petite Cécilia... oui, j'ai bien dit Cécilia, a eu droit à son petit cours de "Comment recouvrir une boite à chaussures"... rires... 
Une véritable épidémie ces bricolages ! 


Alors est-ce que je vous ai mis l'eau à la bouche ? 
Oui ?  je vous invite donc à vous inscrire à sa newsletter, franchement vous ne serez pas déçu(es) !!! 

mercredi 27 juin 2012

TRUE BLOOD-Les livres

Ahhhhhh, les Vacances !!!!
Soleil, Farniente, un bon petit livre au coin de la piscine ou bien sur une terrasse ensoleillée... ça vous tente ?
Alors comme il faut évacuer ce stress quotidien autant le faire avec fun !!!
Raison pour laquelle je vous conseille mon dernier coup de foudre littéraire: la série des True Blood (traduit par "La communauté du Sud").
Au départ je voulais lire les fameux "Twilight" et en effectuant ma recherche sur Google pour les trouver en format e-books, je suis donc tombée sur "True Blood", dont j'avais déjà les trois premiers e-books sur mon ipad... j'ai testé, j'ai aimé: ambiance vampires garantie...
Je vais donc à mon tour essayer de vous mettre l'eau le sang à la bouche...
N'hésitez pas à m'envoyer un petit mail si vous souhaitez à votre tour les lire... :-)


"Le soir où le vampire a poussé la porte de Chez Merlotte, le bar où je travaillais, j’ai tout de suite su que c’était lui.
Depuis que ses congénères avaient commencé leur coming out, quelques années auparavant, j’espérais que l’un d’entre eux aurait la bonne idée de faire un tour chez nous, à Bon Temps. Dans ce coin perdu, on avait déjà des représentants de toutes les minorités, ou presque. Il ne manquait plus que la dernière à avoir été officiellement reconnue : les morts vivants.
D’accord, le nord de la Louisiane ne possédait guère d’attraits pour les vampires. Trop rural, je suppose. Mais La Nouvelle-Orléans n’était pas loin et, s’il faut en croire les romans d’Ann Rice, c’est bien la patrie des vampires, n’est-ce pas ?
Je ne compte plus le nombre de clients qui affirmaient qu’on croisait des morts vivants à tous les coins de rue et qu’il suffisait de lancer un caillou en l’air pour en toucher un. En espérant ne pas lui faire trop de mal, bien sûr : mieux vaut éviter de contrarier un vampire qu’on ne connaît pas. On ne sait jamais. Du reste, je n’avais pas envie de rencontrer n’importe quel vampire. Je voulais le mien..."


"Andy Bellefleur en tenait une bonne. Ce n’était pourtant pas son genre. Et je sais de quoi je parle : je connais tous les piliers de bar de Bon Temps par leur petit nom (après quelques années à travailler comme serveuse Chez Merlotte, plus besoin de faire les présentations). Mais Andy Bellefleur, honorable représentant des forces de l’ordre locales et Bontempois pure souche, ne s’était jamais mis dans un état pareil. Chez Merlotte, en tout cas. Et j’aurais bien voulu savoir ce qui nous valait cette petite entorse à la règle.
On n’était pas précisément intimes, Andy et moi, et je ne me voyais pas vraiment lui poser directement la question. Mais j’avais d’autres moyens de satisfaire ma curiosité. Pourquoi m’en priver ? Bon, en général, j’essaie au maximum de ne pas abuser de mon « handicap » ou de mon « don » (appelez ça comme vous voulez. Disons que j’ai une technique un peu spéciale pour découvrir certaines choses qui me concernent, moi ou ceux qui me sont proches). Cependant, parfois, la tentation est trop forte.
J’ai donc levé la barrière mentale qui me protège des pensées des gens. Je n’aurais pas dû..."


"Quand je suis rentrée, Bill était devant son ordinateur (scène de plus en plus courante, ces derniers mois). Il y avait à peine quinze jours de ça, il réussissait encore à s’arracher à son PC. Mais aujourd’hui, entre sa bécane et moi, son choix était vite fait.
Il a lancé un « Bonjour, mon cœur » distrait, les yeux rivés à son écran. Une bouteille de PurSang traînait sur son bureau, à côté du clavier : il n’avait pas oublié de manger. C’était déjà ça. Et puis, c’était du O positif : mon groupe sanguin...
Sa large carrure tendait sa chemise, sa peau scintillait, et ses épais cheveux bruns sentaient l’Herbal Essences. Rien qu’à le regarder, il y avait de quoi avoir une poussée de fièvre. Je l’ai embrassé dans le cou. Aucune réaction. Je lui ai mordillé l’oreille. Indifférence totale.
Je venais de faire mes six heures non-stop au bar, et chaque fois qu’un client m’avait laissé un pourboire de misère ou qu’un crétin avait essayé de me mettre la main aux fesses, j’avais respiré un grand coup en me disant que bientôt, très bientôt, je retrouverais l’amour de ma vie, que je serais l’objet indiscuté de toutes ses attentions et, probablement, en train de grimper aux rideaux.
Bon. Apparemment, ce n’était pas prévu au programme. En tout cas, ça semblait mal parti..."


"J’ai trouvé le petit mot scotché sur ma porte en rentrant du boulot. J’assurais le service de jour Chez Merlotte, mais on était fin décembre et la nuit tombait tôt. Ça devait donc faire moins d’une heure que mon ex m’avait laissé ce message : il ne sortait jamais avant le crépuscule. Et pour cause...
Je n’avais pas revu Bill – Bill Compton ou « Bill le Vampire », comme l’appelaient la plupart des habitués de Chez Merlotte – depuis plus d’une semaine, et nous ne nous étions pas quittés en très bons termes. Pourtant, rien que de toucher l’enveloppe sur laquelle il avait écrit mon nom, ça m’a retournée. À voir ma réaction, on aurait peut-être été tenté de croire que, malgré mes vingt-six ans, je n’avais jamais eu de petit copain ou que je ne m’étais jamais fait larguer avant.
On n’aurait pas eu tort.
Les mecs normaux ne veulent pas d’une fille comme moi. Depuis le cours préparatoire, j’entends dire qu’» il y a quelque chose qui cloche chez moi ».
Je ne peux pas dire le contraire.
Cela ne signifie pas pour autant que je ne me fais pas peloter, à l’occasion, par les clients. Les mecs picolent ; je ne suis pas franchement désagréable à regarder : l’alcool aidant, ils oublient leur peur et ma réputation de cinglée.
Avant Bill, jamais personne n’avait été aussi proche de moi. Notre séparation m’avait profondément blessée.
J’ai attendu d’être assise à la table de la cuisine pour ouvrir l’enveloppe. Mon manteau encore sur le dos, j’ai juste pris le temps d’enlever mes gants..."


"J’ai su avant mon frère qu’il allait se transformer.
Je conduisais en direction de Hotshot. Jason regardait le soleil se coucher en silence. Il portait de vieilles fringues informes et avait emporté quelques affaires dans un sac en plastique : une brosse à dents et des sous-vêtements de rechange. Emmitouflé dans son épaisse parka camouflage, il s’était rencogné dans son siège et regardait droit devant lui. Son visage trahissait une tension manifeste. Il essayait de contrôler sa peur. Sa peur et son excitation.
— Tu as ton portable ?
A peine avais-je ouvert la bouche que je me mordais la lèvre : je lui avais déjà posé la question. Mais au lieu de me reprendre, Jason s’est contenté de hocher la tête sans broncher : il n’était vraiment pas dans son état normal.
On était encore en plein après-midi, mais la luminosité baisse vite à la fin du mois de janvier. Pourtant, cette nuit-là, le ciel serait clair : c’était la première pleine lune de l’année.
Quand j’ai arrêté la voiture, Jason s’est tourné vers moi. Même dans la pénombre, j’ai vu que ses yeux avaient changé, non seulement de couleur – ils n’étaient plus bleus, comme les miens, et tiraient sur le jaune –, mais aussi de forme.
— Je me sens bizarre.
Il se tâtait la figure sans comprendre. Il n’avait pas encore fait le rapprochement..."


"J’étais dans les bras du plus bel homme que j’aie jamais vu (de l’un des plus beaux, en tout cas). Et il n’avait d’yeux que pour moi.
— Pense à... Brad Pitt, lui ai-je soufflé.
Toujours pas la moindre lueur d’intérêt dans les troublantes prunelles sombres de Claude.
Bon, d’accord. Mauvaise pioche...
À quoi ressemblait le dernier amant de Claude, déjà, le videur de cette boîte de strip-tease ?
— Pense à Charles Bronson. Ou à... euh... Edward James Olmos !
Ma suggestion a été récompensée : entre les longs cils noirs, le regard s’est fait torride.
En un clin d’œil, on aurait pu croire que, relevant brusquement ma jupe (froufroutante, la jupe) et déchirant mon corsage (profondément échancré, le corsage), Claude allait me violer sur place. Malheureusement pour moi (et pour toutes les autres femmes de Louisiane), Claude ne mangeait pas de ce pain-là. Les « blondes à forte poitrine » n’étaient pas vraiment son type. Une brute épaisse aux allures de truand, avec un air mauvais et peut-être l’ombre d’une barbe de trois jours pour creuser les maxillaires, voilà ce qui l’émoustillait..."


"Le Croquemitaine   n’allait pas ouvrir de bonne heure. Au lieu de me diriger vers l’arrière du bâtiment, j’avais machinalement roulé vers l’entrée principale, côté rue, et je m’étais retrouvée nez à nez avec une grosse pancarte en carton blanc rédigée en belles lettres gothiques rouge sang : « Nous vous attendrons, toutes canines dehors, dès 20 heures, et nous vous prions de nous excuser pour cette ouverture tardive. » Et c’était signé : « L’équipe du Croquemitaine   . »
On entamait la troisième semaine de septembre, il faisait pratiquement nuit noire et la flamboyante enseigne au néon du vamp’bar de Shreveport était déjà allumée. J’ai pris le temps de goûter la douceur du soir, avec cette discrète odeur de vampire qui flottait toujours dans l’air autour du club, puis j’ai fait le tour et je me suis garée à côté des autres véhicules en stationnement, devant l’entrée de service. Je n’avais que cinq minutes de retard, mais tout le monde semblait m’avoir devancée. J’ai frappé à la porte et j’ai attendu..."


"Si, par les mots qui suivent, s’ouvrait Le Seigneur des anneaux, et si j’avais la belle voix à l’accent so british de Cate Blanchett, je pourrais vous planter le décor en y mettant tout le suspense voulu. Et vous brûleriez de connaître la suite.
Mais ce qui s’est passé, cet automne, au fin fond de mon coin perdu de Louisiane, n’a rien eu d’une épopée. La guerre des vampires a plutôt ressemblé à l’annexion d’un État en déroute, et celle des loups-garous à une méchante querelle de voisinage. Pas de quoi remplir un chapitre des annales du surnaturel en Amérique – qui doivent bien exister quelque part, j’imagine. Sauf pour qui s’est trouvé activement impliqué dans les annexion et querelle en question...
Ces « détails de l’histoire » deviennent alors des événements majeurs. Et je sais de quoi je parle..."


"— Les vampires blancs ne devraient jamais porter de blanc, a assené le présentateur. La preuve par l’exemple : nous avons filmé à son insu Devon Dawn, vampire depuis seulement dix ans, alors qu’elle s’habillait pour un dîner en ville. Mais regardez cette tenue ! Ça ne lui va pas du tout !
— À quoi pensait-elle donc ? s’est écriée une voix féminine d’un ton sarcastique. C’est ce qui s’appelle s’être arrêté aux nineties ! Et ce... chemisier – enfin, je présume que c’est le mot ! Sa peau implore le contraste, et qu’est-ce qu’elle met ? De l’ivoire ! Ça lui donne un teint de sac-poubelle.
J’ai arrêté de lacer mes tennis pour voir ce qui allait se passer quand les deux fashionistas aux dents longues tomberaient sur la pauvre victime – oh pardon ! l’heureuse vampire – qui allait sous peu avoir droit à un relooking gratuit alors qu’elle n’avait rien demandé. Elle allait même avoir, en prime, le plaisir de découvrir que ses copines l’avaient dénoncée à la police de la mode.
— Je crois que cela va mal se terminer, a déclaré Octavia.
Quoique ma coloc, Amélia Broadway, m’ait plus ou moins imposé la présence d’Octavia Fant chez moi – sous prétexte que j’avais, par mégarde, lancé une invitation hasardeuse dans un moment d’égarement –, notre trio fonctionnait plutôt bien.
— Devon Dawn, voici Bev Leveto, de Vamp’elle, et je suis Todd Seabrook. Votre amie Tessa nous a appelés pour nous dire que vous aviez besoin de quelques conseils de mode éclairés. Nous vous avons filmée en caméra cachée au cours de ces deux dernières nuits et... Aaaaah !..."


– Je me sens mal de te laisser comme ça.
Amelia avait les yeux rouges et tout gonflés. C'était toujours plus ou moins le cas depuis les
obsèques de Tray Dawson.
– Il faut bien que tu fasses ce que tu as à faire, lui ai-je répondu, avec un sourire radieux.
Je pouvais voir la culpabilité, la honte et ce chagrin permanent grouiller dans la tête
d'Amelia, comme une boule de ténèbres.
– Je vais beaucoup mieux, lui ai-je assuré.
Je m'entendais babiller gaiement, mais je ne semblais pas pouvoir m'arrêter.
– Je marche sans problème et les trous sont tous refermés, tu vois? Regarde, c'est
beaucoup mieux, non? ai-je renchéri, en baissant la ceinture de mon jean pour lui
montrer l'un des endroits où une morsure avait arraché la chair.
Les marques de dents étaient à peine perceptibles, même si la peau n'était certes plus aussi
lisse et paraissait un peu plus pâle qu'ailleurs. Sans la dose massive de sang de vampire que j'avais
reçue, j'aurais eu une horrible cicatrice, comme une morsure de requin.
Amelia a baissé la tête pour regarder et s'est précipitamment détournée, comme si elle ne
pouvait supporter d'avoir sous les yeux la preuve de cette attaque.


"La première fois que l’on m’a demandé d’écrire une nouvelle autour de mon héroïne Sookie Stackhouse, je n’étais pas sûre d’y parvenir. La vie de Sookie, son histoire, sont si complexes que j’ignorais si j’étais capable de créer une fiction courte cohérente qui lui rende justice.

Je ne suis toujours pas certaine d’avoir réussi, mais j’ai pris plaisir à essayer. Certains de mes efforts ont été plus couronnés de succès que d’autres. Glisser ces histoires dans le tableau plus large de l’existence de Sookie sans trop faire apparaître les coutures n’a pas été facile. J’ai quelquefois atteint mon but, pas toujours. J’ai tenté dans cette édition d’atténuer les défauts de la nouvelle qui a été la plus drôle à écrire mais qui, en dépit de tout, se refusait à entrer dans une chronologie (L’anniversaire de Dracula).
Les nouvelles, dans l’ordre dans lequel elles se déroulent dans l’existence de Sookie, sont les suivantes : Poussière de faé, L’anniversaire de Dracula, En un mot, Défaut d’assurances, et Le Noël de Sookie.
Poussière de faé met en scène les triplés faé Claude, Claudine et Claudette. À la suite de l’assassinat de Claudette, Claude et Claudine sollicitent l’aide de Sookie dans leur recherche du coupable. Dans cette histoire, Claude fait l’acquisition d’un capital précieux. L’action de Poussière de faé se déroule après les évènements des Sorcières de Shreveport.
Dans L’anniversaire de Dracula, Éric invite Sookie au Fangtasia pour l’anniversaire du Prince des Ténèbres, un événement qui met à l’avance Éric dans tous ses états, puisque Dracula est son héros. Malheureusement, le « Dracula » qui se présente à lui n’est peut-être pas le bon…"

dimanche 17 juin 2012

Le mini et son sac

Il y avait quelques temps que j'avais entamé ce projet... laissé en attente par manque d'inspiration...
Et bien ce week-end... j'ai enfin terminé le mini de cet adorable petit sac...
En voici le résultat en images (n'hésitez pas à cliquer sur les photos pour les agrandir):


Côté face: 


de côté: 


de dos à présent: 


et à présent voici le mini: 

Le plus difficile dans ce genre d'exercice est de choisir le bon format de photos (raison pour laquelle j'ai été retardée) car souvent, quand on travaille un mini, les photos ne sont jamais développées en 10x15 cm... donc il vaut mieux préparer son projet avec soin et à l'avance et ainsi on évite les pannes d'inspiration... 
Le choix du noir & blanc est voulu, une fois de plus ! 
J'en suis une passionnée, je trouve que ça donne un cachet très "classe" aux albums, et comme en scrap on joue souvent avec des papiers de couleurs, et que moi j'aime la discrétion de cet effet monochrome... et bien j'évite de tomber dans des effets de surcharge ... 

















Alors, vous en pensez quoi ? 

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...